Broutards Les tarifs se stabilisent
Avec la mise à l’herbe, les éleveurs se séparent des lots qu’ils ne souhaitent pas prolonger. Ils profitent également des tarifs très attractifs actuellement pratiqués. La vaccination est le sésame pour obtenir la meilleure valorisation. La demande intérieure est également soutenue et propose des tarifs très intéressants.
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La demande est régulière sur l’Italie, même si les engraisseurs sont soucieux du prix élevé des broutards. Les tarifs pratiqués sur les cadrans font apparaître une certaine stabilisation. Des charolais de 350-400 kg se sont valorisés autour de 3,60-3,65 €/kg vif de moyenne à Châteaumeillant, Sancoins, Moulins-Engilbert ou Saint-Christophe-en-Brionnais. Les broutards légers de repousse sont recherchés. Les premiers laitons charolais d’automne de 280-320 kg sont commercialisés entre 1 020 et 1 220 € la pièce sur les marchés de Cholet ou de Châteaubriant.
Les limousins restent demandés sur Ussel et Les Hérolles avec une moyenne à 3,85 € dans les U de 350-400 kg.
Les blonds d’Aquitaine suivent le même chemin avec des 250-300 kg valorisés autour de 4,20 € sur Agen ou Cholet.
Le flux commercial est régulier dans les bonnes femelles U de 300-350 kg préparées pour l’Italie. Elles se maintiennent autour de 3,30 € dans les charolaises et les limousines. Pas de changement dans la moyenne marchandise.
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